Des histoires des histoires....

Le jour se lève a mon chevet. La lueur du soleil réchauffe mes joues rouge et remplis de plis du au coussin sur lequel j'avais dormis près de douze heures complètes. J'enfouis ma tête sous la couette tout en frappant le bouton de mon réveille afin d'arrêté son bruit incessant. Je fini par me levé a toute vitesse le coeur battant la chamade me rappelant que mon premier jour de cours était aujourd'hui. Je m'habille a la vitesse, enfilant un tee shirt à tête de mort et un vieux jean bleu marine. Je passe ensuite en coup de vent dans la salle de bain qui se trouver à l'étage en dessous de ma chambre. La grande glace qui s'y trouve découpa mes formes, j'avais des cheveux châtains et des yeux marron clair et profond. Quand je ressortis de la je pris la du salon ou je trouve un petit déjeuner tout près et ma mere. C'était une femme plutôt dans la moyenne des cheveux châtains et ondulés comme les miens et des yeux marrons foncé. Je m'avança vers mon déjeuner l'air pressé, il était composé de céréale de lait chaud et d'un jus de fruit. Mon ventre gargouilla je m'empressai d'avaler le tout avant de récupéré mes chaussure d'embrasser ma mère et de filé mon sac en bandoulière sur l'épaule droite. C'est en m'éloignant que je me rendis compte que j'avais oublié mes clés je couru les récupéré, ce qui me mis plus en retard encore. Dehors devant ma maison je tourna sur ma gauche et monta les escaliers qui mener a la boite au lettre quatre a quatre. Une longue route singulière relié ma maison a celles de mes voisins. Je l'emprunta dans ma course frénétique jusqu'à arrivé un tournant partant vers la droite, je sauta dans le champ qui le border. Ignorant la rosé du matin qui trempé mes jambes jusqu'au mollet Un dizaine de minutes avait passé, j'accélérais et passa sur un trottoir bordant la route principale, je couru ainsi jusqu'à un feu, la un bus attendait que la personne sa porte monte. Un long soupir me fit m'arrêté avant de repartir jusqu'à la porte du bus je monta juste avant que le chauffeur ne referme les porte, je m'excusa brièvement et m'assis une place libre pendant que le chauffeur ronchonner que la prochaine fois il ne me prendrai pas. En l'ignorant j'enfila mes écouteur et mis la musique a fond au risque de m'explosé les tympans. Le bus mis environ trois quart d'heure pour arrive devant le lycée. J'en descendis une fois que tout le monde fut passer devant moi s'en rien dire, du moins les trois quatre personne qui etait aussi en seconde. Puisque oui nous commençons avec un jour d'avance nous les seconde, ne serais ce que pour découvrir le lycée. Une amie mou m'avait dit de me rendre dans le bâtiment Littéraire, ce que je fit des mon arrivée. Deux semaine avant la rentrée les porte ouverte avait eu lieux et j'avais pu visite tout les bâtiment afin de repère les meilleurs endroits. Je me posa dans ce qui ressemblé a des bulles, mais carré d'où leur nom de " Bulles". Je m'assis lentement dans le crus du milieu afin de reposer mon dos du poids incommensurable de mon sac. La sonnerie va bientôt sonné et tu vas devoirs te rendre au point de rendez vous avec mes autres seconde. Plusieurs de t'es amis viennent d'arrivé.  Emma celle que tu considère comme une meilleur amie voir plus qu'un amitié frôlant l'osmose, Nathan ton meilleur amis de toujours, Justine, Auberie, Romaric et Chloé. Je souris tendrement a leur arrivé, sautant dans leur bras sauf ceux de Nathan bien entendu jamais il ne te fera de câlins ça c'est sur. Je suis heureuse dans ce lycée en cette début d'année 2015-2016. La sonnerie retentit, c'est en me levant que je remarqua un nouvel individu qui m'étais inconnue, grand et plutôt solide, je ne lui jeta qu'un coup d'oeil avant de poursuivre mes amis jusqu'au point de rendez-vous. Je fut déçus que personne de mes amis ne soit dans ma classe, mais je remarqua que la personne des bulles solide était dans la mienne ce qui me fit hausser les sourcils. Le peu de Joie qui me resté m'aida a tenir tout les cours de la matinée. C'était un Mercredi le jour de la rentrée. Tout les cours de la matinée c'était tout de même des grands mots, jusqu'à la récréation c'était déjà pas mal. Je découvrit ce qu'était l'amusement dans les bulles ce jour là. Certes nous n'étions pas nombreux autres mais j'avais déjà découvert un jeu. Devant nos carré fait de mur et de vitres, se trouvé des petit banc fait de béton et de bois laqué. Je découvris les bien faits de tourné en position fœtus assis sur c'est banc. Tourné aussi vite qu'une toupie sans s'arreté, enfin si mais le seul moyen pour cela était de lâche ses jambes. Ce que je fis un nombre incalculable de fois, jusqu'à ce que je me frappe violemment le genou dans le béton. Croyait moi ca fait mal et je n'ai plus recommencé après. Puisque pendant une semaine j'ai eu une attelle. Enfin revenons nos moutons, je passa les deux heures suivante avoir mal au genou... midi la première journée de cours était terminé je passa au bulles récupéré des affaires que j'avais déposé. D'ailleurs l'endroit ou nous nous posions au récré était composé d'un grand hall avec de grand piliers, de portes en verre d'un vie scolaire, et bien entendu des fameuses bulles où je m'étais deja blesser. Je rentra avec le bus que j'avais pris le matin meme. Le mien etait facile a repéré puisqu'il ressemblait a un suppositoire géant. A ma maison j'explique mes parents comment je me suis fait mal au genou ils rigolent. Une semain complete passa, une semaone avant que je me fasse de vrai amis. Je debuta par une jeune fille nommé Eloane, fille assez normal et intelligente. Puis ce fur le tour d'Ulrick, mais si vous savez l'armoire de glace dont je vous ai parler le premier jour... Oui c'est lui. P uis il l y eu Arthur que je surnomme pepito et enfin il y a Sloan. Un matin se leva un jeudi, un matin demi froid a demi chaud. Un matin ou la nuit commencé a raigner sur le soleil. Ce jour là je ne le savais pas encore mais ça allait etre le plus beau jour de ma vie. Je m'etais lever a 6h30. la parfaite heure pour aller jusqu'au bus. Dedans je regarde par la fenetre voyant un ciel levant magnifique plus beau que n'importe quel autre jusqu'a maintenant. Je le regarde sans toune la tete momentanement subjugué par les trintes rouge qui le coloré, ce rouge orange dont tu aimes regarde la teinte de bon matin.